Linux Vs Windows

j'ai pris la decision de me mettre à Linux. Par curiosité d'abord et avant tout. Je vais donc installer çà sur mon vieux portable que je garde au boulot. Première étape : changer le lecteur DVD / graveur CD qui ne fonctionne plus depuis 2 ans. j'ai commandé la piece en occas', j'ai le plan, çà devrait le faire. Deuxieme étape, choisir un linux. Pour le moment, je pense me mettre à Ubuntu : c'est ce qui se fait de mieux à priori pour un débutant. alors autant commencer par çà !

Je vous reparlerai de cette migration, pour le moment je prepare mon projet.

Niveau Musique, aujourd'hui, c'ets Beethoven qui est à l'honneur, avec un disque qui comprends les symphonies numero 5 et 6 (la pastorale) sous la direction de Karajan. un disque que j'écoutais beaucoup étant jeune. en fait il y eut trois disque de classiques que j'ecoutais beaucoup : Symphonies 5 et 6 de Beethoven, Casse noisette de Tchaikovsky et le concerto pour piano n°1 de Chopin (que je prononçais alors "chopinne", mais j'étais jeune).

Donc, cette oeuvre de Beethoven tout le monde la connait : sol-sol-sol-miiiiib... fa-fa-fa-réééééééééé ou pom pom pom pooooooom, La BBC (pom pom pom, les français parlent aux français, Charles à de grandes oreilles, je repette, Charles...), ben c'est lui (pas le message codé de la BBC ;o)).
Donc, la numéro 5, c'est de la musique pure, violente, brute de décofrage. La 6, en comparaison porte bien son nom et remplit parfaitement son objetcif : nous faire ressentir la campagne au travers des differents themes. à part pour le passage qui evoque l'orage et le tonnerre c'est plutot calme et agreable. fermez els yeux, on s'y croirait. le passage de l'orage est toutefois l'un des plus puissants qui m'ait été donné d'entendre.

Donc l'intro de la Cinquieme, c'est ici.

Et pour la 6eme j'ai pas trouvé. :o/

Mais par contre apres l'avoir écouté, j'ai vraiment envi d'ecouter d'autre trucs de lui, notamment l'intro au Piano de la n°7.

Et au passage, une oeuvre qui me prend au trippes à chaque fois que je l'ecoute ou la joue, c'est l'Ave Verum de Mozart. Tout mozart en 4 minutes. chaque fois que je l'ecoute j'ai tout les symptomes d'une grave sensibilitite-aigue : poil qui se herisse, boule dans la gorge, leger frisson. il y a tout. regardez voir si çà vous arrive aussi.

La Ligne rouge

Aujourd'hui, la bande originale du film "la ligne rouge" de Terrence Malick. Comment parlé d'une B.O sans parlé du film ? çà me parait difficile donc petite présentation du film : Terrence Malick est un réalisateur atypique dans le sens où il réalise un film tout les 5-6 ans, voir plus. à chaque fois, c'est l'évènement et c'est devenu un privilège de jouer dans ses films. On retrouve donc dans la ligne rouge une pléthore de stars qui n'apparaissent parfois que quelques minutes. Ce film est un film sur la guerre et pas pas "de guerre" comme par exemple "il faut sauvé le soldat Ryan" : pas d'héroïsme, mais des actes humains, pas de violence brute, plutôt morale, pas de grande bataille mais des actions courtes et violentes...Pas besoin d'hectolitre de sangs, de méchants nazi et d'explosions énorme pour nous effrayer. l'ambiance du film et la manière de tourner suffisent à nous plonger dans le coeur de l'action et à nous imicer dans la vie de ces soldats, d'avoir la trouille au ventre quand il s'agit de monter à l'assaut en se souvenant de sa compagne restée au pays, et si ce soldat que je vois à l'ecran c'était moi ? ... entrecoupé par de long plans qui forcent à la contemplation de la nature ce film est servi par un casting de choix qui fait mouche (Sean Penn, toujours excellent, Nick Nolte aussi d'ailleurs) ce film est l'un de ceux qui m'a le plus marqué.
La Bande originale du film comprends principalement des themes composés et joué par Hans Zimmer. Ce compositeur n'est pas trop connu du grand public de notre coté de l'atlantique où seule les pointure comme John Williams ou Dany Elfman ont une renommée. Mais tout de même, ce monsieur Zimmer compose des musiques de nombreux films comme gladiator (que je trouve assez réussi comme BO).
La musique qu'il a composé pour la ligne rouge est une réussite : elle est parfaitement dans le ton du film et l'accompagne magistralement : le thème principal (a journey to the front line) en est la pièce principale. un thème qui reviendra dans certains morceaux. On se laisse aller au fil des thèmes. contrairement à de nombreuses BO, les scènes du film ne reviennent pas forcement en tète à l'écoute, ces morceaux sont chouettes tout simplement. bien sûre, si vous avez vu le film avant (sinon, je vous y engage fortement) c'est un peu mieux. Vous aurez également l'occasion d'avoir un peu de Gabriel Fauré dans la BO.

Pourquoi j'ai mangé mon père

Roman écrit par Roy Lexis, féru d'archéologie. Ce Roman nous narre l'histoire d'une tribu de pithécantrope à l'époqie du Pléïocène. Cette tribu, à mi-chemin entre l'homme et le singe, l'arbre et la prairie voit son histoire raconté par Ernest, jeune de la tribu. Dans cette histoire, nous croiserons la route de Edouard, son père qui cherche à tout prix à lancer son espece dans l'évolution en lui fesant découvrir de nouvelles invention ("aux potentiels prodigieux") comme le feu. On rencontre aussi Vania, frère du précedent qui lui est plutot refractaire au progres et cherchera toujours à contredire son frère tout en profitant des nouveaux progrès. Sa rengaine habituelle : "Back to the Tree !". l'idée géniale de Roy Lewis, c'est de faire parler et reflechir ces hommes préhistoriques avec un langage contemporain et plutot soutenu. D'ailleur, les noms des personnages sont assez distingués : William, Edouard, Ernest...
Le Décalage fonctionne à merveille et les anachronismes et situations cocasses se succedent sans jamais se ressembler. le roman est court et se lit en très peu de temps.

En fait, il y a trois manière d'aborder ce roman :
-un documentaire : Mis à part une ou deux grossieres approximation, ce roman présente d emanière assez detaillé le mode de vie des hommes préhistoriques de l'époqie du Pleïocène ainsi que des notions d'évolutions.
-Un parcour initiatique comique : l'histoire de Ernest est une succession d'épreuves à passer. Le ton est volotairement comique.
-une denonciation du progres et notamment de la bombe atomique (le bouquin a été écrit dans les années 60 je crois).

Donc si vous voulez vous détendre un peu, passer un bon moment et bien rigoler, ruez vous sur "pourquoi j'ai mangé mon père". :o)

Arcade Fire - live

Arcade Fire, c'est ce groupe canadien (De montréal pour être précis) qui a débuté en 2004, est devenu connu avec un très reussi 1er album, Funéral en 2005 et signe un deuxieme album qui comfirme tout le bien qu'on pensait d'eux : Néon bible sorti le mois dernier. En 3 ans, ce groupe s'est imposé comme majeur sur la scene rock mondiale, et il a des arguments pour faire valoir cette place : mélodies recherchées avec de frotes intonations mélancoliques, arrangements et compositions très bien faits, univers musical envoutant et duo de chanteur-chanteuse carismatique. Alors pourquoi Live ? parce que je suis allé les voir Mardi dernier à l'Olympia. Un ami m'avait prevenu, c'est à voir en live. et il n'avait pas tord. ils sont bien 10 sur scenes et s'echangent leurs instruments entre chaque morceau. chaque membre joue donc au minimum de 2 instruments. Ils sont déchainés sur scène et arrivent à communiquer leur energie au public. La mise ne scene etait interressante avec de minis ecrans autour de la scenes et des films sur le rideau derriere. Cette préstation scenique fut toutefois gaché par les ingénieurs sons qui ont massacré la gestion en mettant la gomme sur les aigus : çà fesait mal aux oreilles et c'est seulement en me les bouchant que je pouvais discerner les voies et les differents instruments. quel dommage !
Ils ont fait plus de mal à mes oreilles en uen soirée que mon balladeur en 4 ans d'ecoute intensive...

Un grand merci d'aileurs au groupe qui reprend à capella "Wake Up", meilleur morceaux de la soirée pour mes oreilles. Entre les nouveaux morceaux (forts réussis (comme Black mirror) et les (déjà) classiques de "funeral" (Rebellion, Wake up, Crown of love -que j'adore-)

En premiere partie, Malajube et electrolane, deux groupes canadiens qui meritent d'etre plus connus en france (surtout le premier que j'ai plus apprécier).

le coin BD

j'ai entamé plusieurs séries de Bandes dessinées ces derniers temps. en voici un petit résumé et mon avis :
-l'Incal de Moebius et Jodorowsky : Cette série de SF en 6 tomes est un classique. Elle raconte l'histoire de John Diffool, Détective de classe R qui est amené à avoir un avenir pour le moins troublé. S'ensuit une aventure digne des plus grands space opéra mêlant complots galactiques, batailles sidérales et mysticisme. du mysticisme, il y en a, même trop et j'avoue ne pas avoir tout compris et laché à certains moments. De même, certains rebondissements sont un peu lourd ou tirés par les cheveux. mais Dans l'ensemble, çà reste sympa, les dessins de Moebius sont très agréables il existe aussi une série "avant" et une "après" l'incal. mais je ne m'y tenterais pas je pense.


-Sillage : Dessin de Buchet et scénario de Morvan. Encore de la SF ! En 9 tomes (mais je ne suis arrivé qu'au 7 pour le moment) Cet ouvrage nous parle de Sillage, un immense convoi de vaisseaux où cohabitent une multitudes d'espèces différentes. Un jour, le convoi croise la route d'une planète où vit Nävis, jeune humaine qui va devenir la seule représentante de sa race dans le convoi ainsi qu'un des meilleur agent du conseil.
Coté dessin, c'est nerveux et çà ressemble à du Manga. la morphologie de Nävis est pour le moins agréable à l'oeil mais reste tout à fait naturelle : on pas affaire aux vieux clichés de la nana plantureuse avec des gros seins et une taille de guêpe. Les extraterrestres sont tous assez originaux. Le découpage des cases est assez bien foutu et parois original.
Coté scénario : Si chaque volume en soit est bien ficelé, j'ai encore du mal à bien cerner la trame générale de la série. on peut presque lire dans le désordre et a la fin d'un volume, on attend pas la suite (contrairement à Universal War One de Bajram, mais là, c'est du grand art). Je suis un peu déçu de ce coté là. mais peut être que les deux derniers tomes m'enthousiasmeront plus.

-Sanctuaire : Pas de la SF ! dessin de C. Bec et scénario de X. Dorison. Plongez dans les profondeurs de l'océan... Le Nebraska, un sous marin U.S croise au large de la Syrie quand il se détourne de son plan de route pour se retrouver au fond d'une grotte sous-marine, face à à une gigantesque façade sculptée et l'épave d'un mystérieux sous marin russe des années 50....

Nous voilà plongé avec l'équipage dans ce traquenard où les évènements plus ou moins fantastiques - mais toujours glauques- vont se succéder -malheureusement pour l'équipage-.
On en apprends petit à petit un peu plus sur ce mystérieux sous marin ainsi que sur ce lieu insolite. le Dessin de Bec est formidable pour rendre l'atmosphère pesante et glauque même si les personnages manquent un peu de dynamique. le scénario se dévoile au fur et à mesure et chaque tome laisse bien sur la fin et on trépigne pour avoir la suite. Les planches sont vraiment chouettes et certains dessins sont magnifiques (comme les dessins sur une page de certains décors).
Bref, je suis totalement conquis par cette série. je n'ai lu que 2 volumes sur 3 mais j'accroche et je pense que je finirai par m'acheter ces volumes.

Le journal d'Anne Franck

Pas trop le moral ce matin. Je viens de terminer "le journal" d'Anne Franck. J'en avais beaucoup entendu parlé, mais jamais lu. L'idée m'est venu il y a 1 mois. j'étais alors en pleine lecture de "les bienveillantes" et venais de regarder un documentaire sur la 2 sur la poursuite des anciens nazi. Super documentaire au passage qui m'a permis de connaître un peu mieux la vie de la famille Karsfeld et le courage dont ils ont fait preuve notamment en se mariant après guerre...

Bref, après un passage à Gilbert Joseph où j'ai acheté quelques livres qui me tenaient à coeur (dont ce journal), je me suis attelé à la lecture du journal d'Anne Franck. Écrit entre Juin 1942 et Août 1944, Ce journal est le journal intime de Anne Franck, jeune Allemande parti en Hollande dans les années 30 pour fuir le Nazisme, car Anne et sa famille sont juifs. Elle raconte ainsi sa vie pendant l'occupation, puis sa clandestinité lorsque sa famille et des amis se cachent dans ce qu'elle appellera "l'annexe" en plein coeur d'Amsterdam. Ils vivront ainsi 2 ans dans leur cachette, aidés par des amis de son père. Dénoncés, ils seront arrêtes le 4 Août 1944 puis déportés a Auschwitz pour la plupart. Seul le père de Anne survivra.
Ce livre peut être lu de plusieurs manière. C'est d'abord l'occasion de voir l'occupation à travers de gens qui l'ont vécu, de sentir leur peur d'être attrapé alors qu'ils savent le sort qui leur ait réservé. J'ai d"ailleurs était très étonné de lire que même anne qui avait 13 ans connaissait l'existence des camps de concentrations, des maltraitances et des chambres à gaz... Sans doute que d'autres qui ont toujours prétendu ne rien savoir ne voulaient probablement pas savoir. c'est également l'histoire d'une jeune fille en pleine adolescence qui évolue et mûrit. Nous assistons à tout es changements importants et sommes les témoins privilégies de ses interrogations. C'est enfin et surtout un nom, un visage et une personnalité attachante sur une des 6 millions de victimes du génocide. Et après s'être attaché à Anne au travers son journal (on devient son confident en lisant son journal intime) on apprend ce qui lui ai arrivé ce 4 Août 1944, même si on sait par avance son destin funeste, on a l'impression de perdre un proche.



Ce livre est donc à lire absolument à mon avis. et il n'y a pas d'âge pour le lire. La préface et la postface de cette édition sont intéressante et apportent un éclairage intéressant sur le texte de Anne.


Et pour couronner le tout, j'écoute la B.O du film "Platoon" (O. Stone) avec l'adagio de D. Barber, une oeuvre qui me met une grosse boule dans la gorge à chaque fois que je l'écoute...

Abbey Road, le retour.

quand je vous disais que la pochette d'Abbey Road était l'une des plus copiés :


Ceci dit, je trouve cette pub assez amusante. :o)

Muse - Origin of Symmetry

Voici un nouvel album qui devrait faire plaisir à Sam Sool. Je suis dans une période "Muse" et donc en ce moment, les albums du trio britannique se bousculent dans mon balladeur. Aujourd"hui, leur deuxieme album, "Origin Of Symmetry". Il date de 2001 et il faut dire qu'après leur réussite sur Showbizz ils étaient attendu au tournant.

L'album est un mélange réussi de Rock lyrique, de Punk et de classique. Rien que çà. Le Premier morceau en ai le parfait exemple : "Nex Born", devenu depuis titre emblematique du groupe : une intro douce et lyrique suivit d'un riff electrique de Guitare. Il faut d'ailleur voir çà une fois en concert. le morceau suivant, "Bliss" sfait egalement dans le lyrisme du début à la fin (notez les montées des refrains). "Space Dementia" porte vraiment bien son nom et derriere de grands accords de piano plaqués et aux sons stridents qui les accompagnent on se sent vraiment malade.
"hyper music" est beaucoup plus classique, encore que j'aime beaucoup la ligne de basse des couplets (çà fait penser aux Red Ho Chilly Pepper).
Le morceau suivant, dès les premières notes, on le reconnait : "Plug In Baby". c'est enragé du debut à la fin.

Ce n'est pas le meilleur album de Muse à mon avis (Absolution va beaucoup plus loin et est plus abouti, le groupe y fait preuve d'une plus grande maturité) Mais est une étape importante et une oeuvre musicale a ne pas rater pour celles et ceux qui apprecient le rock.

Abbey Road

Hop, je reviens de Bruxelles où j'ai vu la famille. C'est que j'ai des cousins qui sont allés habiter (allez savoir pourquoi) en Belgique. Alors forcement, on se tanne gentiment entre cousins belges et français. Ce fu un chouette Week end. Quelques surprises toutefois. A l'aller, je me plante de route et prends la A1 vers Lille au lieu d'aller vers Bruxelles par l'A2. çà nous rallonge un peu, mais bon, j'assume. c'était une question de Feelling. Je continue donc sur l'A8 après Lille qui se transforme en E249 Une fois le poste frontière fantôme passé. et là, je ne vois aucun panneau de limitation de vitesse. même après les entrées d'autoroute. je roule donc à 130-135km.h. il est tard. et là, dans un coin paumé pas éclairé, un flash. mince, j'me suis fait avoir. bah, çà m'apprendra, je suis toujours un poil plus vite que 130, t'étais prévenu, tant pis pour toi Nico. Je m'arrête pour faire le plein (innutile de dire que ensuite je roulais à 110), le pompiste m'explique qu'en Belgique, c'est limité à 120. aieuh. bon, c'est cuit. c'est pour ma pomme. Pourtant, sur le Ring de Bruxelles, je me fais doubler en fanfare par des voitures roulant à plus de 140-150 (au retour, même à 200 à mon avis)... Bon, pepere, je reste à 115. En arrivant chez les cousins, je leur explique ma mésaventure. Et là, ils rigolent bien, parce que sur l'axe que j'ai pris, il y a un système de comptage de voitures qui fonctionne avec des Flash, et çà surprend tout le monde... Comme quoi la dissuasion çà marche... (encore que si çà se trouve çà arrivera plus tard).

En tout cas, Bruxelles est une ville chouette je trouve. J'aime bien ce type de ville Nord-Européenne. architecture, comportement des gens, pleins de choses qui font que la qualité de vie me semble meilleure qu'en France.

Pour Finir, Album du jour bonjour ! C'est le 3ème album de ceux que j'ai beaucoup écouté la semaine passée. il s'agit de "Abbey Road" des Beatles.

Si j'ai bien suivi, c'est leur dernier album enregistré bien que sorti avant "Hey Jude". En tout cas, c'est le 11ème . la pochette est super connue. Pour moi, les Beatles çà s'est souvent résumé aux doubles albums bleu et rouge. Je me suis donc écouté ce disque sans trop savoir ce qu'il y avait dedans. Hé bien je n'ai pas été déçu, bien au contraire, c'est une perle. çà commence par "Come Together", ultra-archi connu, mais que je n'aime pas trop. après deux trois morceaux, on tombe sur "I want you (she's so heavy)" , l'une de leur chanson les plus longue (7'49). çà ressemble presque à du Hard Rock sur les refrains. Tout en nuance "Here come the Sun", çà change, pas du tout la même ambiance, mais c'est assez excellent. une musique parfaite pour partir en vacance sous le soleil. çà contraste totalement avec l'ambiance du morceau précèdent. Ensuite vient "Because" qui me fait complètement tripé dans l'intro, on dirait du classique. En fait, ils ont enregistré 3 fois à 3 (Mc Cartney / Lennon / Harrison) pour faire croire à neuf chanteurs.

Ensuite c'est un Meddley de morceaux, incluant le superbe "Golden Slumbers" qui s'enchaîne avec "carry that Weight" qui sonnent tout les deux "So British" et sonnent comme un adieu.

Je vous conseille donc fortement l'écoute de ce disque qui m'a vraiment plu... et dire qu'il faut déjà que l'enlève de mon baladeur... mais çà fait parti du Deal..



P.S : Le proprio de la Coccinelle sur la pochette du disque s'est fait tirer 23 fois sa plaque d'immatriculation et sa voiture s'est vendu 23000 $ dans les années 80... faites donc photographier vos voitures pour des pochettes de disques, même sans faire exprès !

Archive...

Hier je vous ai dit que j'écoutais 3 albums. Le premier vous a été présenté hier, le deuxième aujourd'hui. Celui là, c'est du tout neuf, découvert par hasard dans un bac de la médiathèque. Je me suis dit que j'allais regarder de la pop/rock internationale. Je commence donc à la lettre "A". après deux trois trucs qui ne me branchent pas, je tombe sur "Archive" (album : "you all look the same to me". La pochette m'intrigue. Ces vieilles photos, on dirait une promo de lycée des années 60-70. allez, zouh, je prends (en même temps qu'un live de Noir Désir et le DVD de Aviator de Scorcese).

Le soir même j'écoute. Le premier morceau (Again) me scotche littéralement. J'ai l'impression d'entendre du Pink Floyd mais pas joué par Pink Floyd. La musique s'atténue, revient comme une vague, plus forte. plus de 17 minutes. pour un premier morceau c'est assez original. D'habitude, les gros morceaux, c'est pour la fin. Il y en a tout de même un autre, "Finfing it so hard", 18 min qui suivra dans l'album.
Les morceaux de l'album sont en général d'excellents mélange d'electro et de rock progressif comme on pouvait en entendre il y a plus de 30 ans. un parfait mélange entre Pink Floyd et Radiohead en fait. C'est absolument super à écouter.
d'ailleurs je vous laisse juger par vous même :


En tout cas, je suis content d'avoir découvert un nouveau groupe. il semble toutefois que la carrière de ce groupe soit assez chaotique.

j'aime bien faire Mu-Muse avec les Be-Betes.

Quel Jeu de mot déplorable pour présenter l'album du jour, de - vous l'aurez devinez - Muse.
Mais j'ai eu beaucoup de mal à savoir ce que j'allais vous présenter aujourd'hui. En effet, j'ai 3 albums en écoute en boucle en ce moment, dont Muse et deux autres dont un très connu et l'autre un peu moins, mais les 3 sont excellent à mon goût. Les puristes, les réfractaire à la musiques contemporaine pourront toujours dire que ce n'est pas super original, mais je ne juge pas la musique que j'aime sur l'originalité mais sur le plaisir d'écoute. Bien sûre, si c'est original en plus, c'est génial. Ainsi il m'arrive d'écouter du J.J. Goldmann ou du Claude François, voir du Polnareff entre deux morceaux de J. Coltrane ou deux Beethoven (dont j'ai deux symphonie en attente et dont je dois vous parler).

Pour le moment, le processus par lequel je vous présente les albums est le suivant : je charge des albums sur mon baladeur MP3 (quelle merveilleuse invention) selon mes goûts, mon humeur et mon dernier passage à la médiathèque près de chez moi. J'écoute plus ou moins une fois tout les albums, me concentre sur ceux je j'apprécie et vous les présente plus en détail. il y a bien quelques albums qui datent du début du blog qui reste sur le baladeur, mais je ne sais pas si je vous les présenterez car je n'éprouve pas forcement de plaisir en les écoutant.

Revenons au sujet initial du message : Muse. L'album que je présente aujourd'hui, c'est Showbizz. lLe deuxième que j'ai connu d'eux, mais c'est également leur premier album paru. en fait le deuxième si on compte le premier qui est en fait un single de "Muscle Muséum" qui réapparaît dans Showbiz. D'ailleurs, si on consulte la Wikipedia, il est expliqué l'origine du titre : Muscle parce que c'est le mot avant Muse dans le dictionnaire et Museum parce que c'est le suivant.
l'album s'ouvre sur "Sunburn" : une introduction au piano, la batterie puis guitare et basse arrivent pour nous présenter le thème. c'est électrisant, le chanteur nous emmené bien loin. Muscle Museum suit, çà me fait penser à une musique traditionnelle - du moins le rif à la guitare -, la fin finit en apothéose, j'adore.
Fillip est sympa surtout avec le pont assez calme au milieu. sinon assez classique. à noter que sur ce morceau et plus que sur tout autre on profite du défaut principal du chanteur (qui s'est amélioré depuis) : ses inspirations incessantes et bruyantes. on dirait qu'il va s'essouffler à bout de souffle. Il a du pas mal bosser car la dernière fois que je les ai vu en concert il n'avait plus ce défaut. bon, çà fait aussi un peu son charme. mais à force...

Cave, ensuite, et le morceau que je préfère dans cet album. çà commence comme un gros rock bien lourd avec un rif de guitare bien gras et électrique et la batterie qui tape en même temps que la basse. les couplets sont plus communs mais les refrains sont transcendant, et la fin du morceau à des sonorités de Pink Floyd. Je sais que le rapprochement peut paraître bizarre, mais là, comme çà, c'est comme çà que je le vois. Cette guitare à le même son que sur certains chorus de Pink Floyd. Et en plus çà sonne bien !

Le titre suivant Showbizz est tout aussi excellent : une lente montée où l'on sent bien que c'est prêt à exploser, et çà finit à exploser ! (j'adore les passages où la batterie passe UP Tempo, c'est à dire quand elle se met à battre deux fois plus vite alors que les autres ne changent pas.

Voilà pour les premiers morceaux, je vous laisse découvrir la suite.

Un excellent album où l'on sent bien que c'est encore le début mais qu'il y a un énorme potentiel derrière. les albums suivants -notamment Absolution (je me rends compte que j'ai été quelques peu laconique sur sa présentation) - les albums suivants le prouvent.

Écoutez moi çà tant que vous étés là. ;o)

Non, les carrottes ne sont pas cuites, rendez nous vite Marie Miriame !

Hier soir, c'était l'evenement musical televisuel de l'année à ne surtout pas raté. Enfin plutôt la préparation de l'émission musicale de l'année, j'ai nommé l'Eurovision. Il s'agissait donc de la sélection de l'artiste qui ira nous représenter en Finlande au cours de cette cérémonie qui, nous dit on, coupte plus de 15 millions d'euros et profite d'une des meilleures audience dans toute l'Europe.

L'émission était présenté par le pas-drôle Tex, celui qui qui essaye de faire rire les couples de tous ages le Midi sur la 2 et Julien Lepers, celui qui essaye de faire reflechir les plus de 50 ans tout les soirs après 18h. Ce sont d'ailleur nos deux comperes qui iront nous comenter le "show" en Finlande pour la TV française. AU vu des blagues, callembours et commentaires auxquels nous avosn eu hier soir, je pense que nous aurons droit comme chaque année à un festival de blagues nulles, de commentaire volant au desous de la ceinture et d'exclamation en tout genre (les honomatopées de Julien Lepers sont absolument incroyables). Nous n'atteindrons pas par contre la vulgarité et la mechanceté de Marc Olivier Faugiel qui sait être vexant quand il n'y pas de trop gros enjeux Petit exemple de commentaire de la Hyene (alors au service public) : "Ah, l'Estonie, si il y a bien un endroit où vous devriez passé vos vacances si vous n'avez pas d'autre destination, ce n'est surement pas l'Estonie, restez chez vous." Heureusement d'ailleur qu'il l'a quitté le service public, personnellement je ne peux pas piffer ce type.

Mais revenons à nos moutons, les chanteurs ! Cette année, nous avons eu droit à un spectacle assez heteroclite. Il y avait des Rappeurs qui pronaient le respect et l'amour avec des paroles d'une virulence assumée ("les blancs, les noirs, les arabes, les musulmans, les chretiens, les juifs, les handicapé, les boulangers artisans, les blondes platines, tous ensemble dans le respect !" - on y croit devant tant d'enthousiasme). ils ont quand même réussi a allé en finale.
Ensuite, Les Choristes du chanteur Philippe Katerine, completement déjantées avec leur chanson "papa est mort", exellent, completement barré. mais pas selectionnées...
Notons le passage remarqué des Wanpas avec leur chanson "Votez pour nous", Le chanteur finissant (comme d'habitude) à moitié à poil sur les genoux d'une brave sexagenaire qui n'en demandé pas tant. Zero point, au suivant(e) :
Estelle Lemée, "comme un réve" ne m'a absolument pas fait révée devant son mélange de guimauve et de Lorie. au moins, elle chante juste ce qui n'a absolument pas été le cas de Charlotte Becquin, Manequin-actrice-rockeuse qui n'a cessé de chanter (crier) toujours de manière totalement fausse sur un morceau qui serait peut etre passé il y a 10 ans.
J'ai bien aimé Valérie Louri, besoin d'ailleur. Sympa, original, tribal, c'etait agreable, mais pas assez pour aller à l'eurovision où elle se serait faite demonter. Je passerai sur les rappeurs avec accent Picard, je n'ai pas accroché et resterai un peu sur les vainqueurs de la soirée : les Fatals picards.

Je ne connaissais pas trop et force est de constat& qu'ils ont donné une prestation de qualité : musique energétique mais pas trop décousu (comme les Wampas par exemple) , costumes simples en adequation avec la musique, paroles amusantes et musique plutot classique mais efficace. tres bon en somme. Je sais pas si ils assurerotn en Finlande, mais en tout cas c'est ceux que je prefere.

Ben Sidran Live at Montreux 1979

Hello,
Pour aujourd'hui, un Album que vous aurez beaucoup de mal à trouver. Pour tout vous dire, je le cherche depuis quelques années, sans jamais le trouver... et puis par un sacré hasard, je l'ai trouvé. en fait, j'avais un morceau en tete depuis 4 ans, mais pas le nom de l'artiste ni le nom de l'album. juste le nom d'un theme joué : someday my prince will come. Bref, j'ai trouvé l'origine, il s'agit de l'album "Live in Montreux 1979" de Ben Sidran avec notamment les Brecker Brothers et Mike Minieri.

De la grande classe donc. c'est un peu soul comme esprit mais il y a des passages jazzy exellents, notamment le someday my prince will come, prit à 4 temps au lieu de 3. çà fait bizarre, je vous assure, mais c'est exellent. Des fois BEn Sidran chante. Je n'apprecie pas trop sa voix. en fait, il n'en a pas beaucoup à mon avis . Promis, demain j'arrete le Jazz et vous fais une chronique Rock. ;o)

y a de sjours comme çà...

petit coup de deprime. Je pensais avoir de supers-résultats. mon chef était content ("ouah, tu vas peut-etre finir ta thèse à temps !") et moi aussi pour le coup. Efnin de vraix résultats à moi. Enfin du travail recompensé ! Mais après quelques vérifications et quelques études de publications plus tard, ce n'est que désilusion. Dans ce que j'observais, il y avait soit des trucs pas specifiques qui ne valent pas un clou, soit des trucs déjà documentés. en bref : Rien. du coup mon moral chite brutalement, celui de mon chef aussi, mais moins ("ha ben je croyais que t'allais finir à temps !"). Je vais me souler pour le coup ! non. De toute fàçon, l'alcool n'aide pas à resoudre les problemes. l'eau non plus. (Au passage, defense de melanger eau du robinet avec jus de fruit du commerce : le chlore de l'eau empeche la bonne assimilation du sucre et y a de bonne s chances de devenir diabetique pour le coup).
Ha. Et hier soir, dans le train. Des fois quand on descend du train, y a un type avec un sac de voyage, ou un papy avec une canne, ou un couple avec une poussette. ben là, j'avais :
1-un papa seul avec sa poussette => pas pratique du tout.
2-un couple de retraité avec des cannes. => deux fois plus de danger
3-2 jeunes filles avec des valises plus grandes qu'elles.

Bref, la sortie du train légèrement embouteillée... y qu'à moi que çà peut arriver ce genre de truc. Et je vous parle pas du voyage du matin. En ce moment, quelques soit l'heure, le wagon, le train, j'ai un accordéoniste qui me casse les oreilles pendant 20' dans le RER. à chaque voyage. alors, oui, je comprends qu'ils font çà pour vivre, que c'est pas pour le bonheur de me casser les oreilles qu'ils font çà, que c'est pas par gaieté de coeur, et que je pourrais aussi être indulgent. Mais là, j'en assez de ces Meddley de musiques "franco-française" (la vie en rose), de musique tsigane ou slave. car ls jouent tous la même chose... j'ai l'habitude de donner un peu, mais là, entendant la même chose jour après jour, non, je n'y arrive pas... c'est un comportement totalement égoïste, j'en suis bien conscient.

bon, en attendant, CD du jour bonjour.

aujourd'hui, Bob Berg et Mike Stern dans un live, "Games". près de 45' de concert en 3 morceaux (oui, il y en a un court de 7' et un long de 24' !).
Donc au Saxo, Bob Berg. A la Guitare, Mike Stern, A la basse Lincoln Goines et à la batterie Dennis Chambers.

Le premier morceau, games (24') est un gros morceau. on rentre direct dans le thème, les chorus s'enchaînent, se suivent, çà déchire. mention spéciale pour le chorus de batterie, j'suis pas un habitué mais là le Dennis Chamber il m'a cloué sur place. le chorus fait bien dans les 5-6' (c'est le plus long) et ce type ets un métronome. il s'arrête pas, il a une maîtrise du tempo hallucinante.
le deuxième morceau, c'est After you, une ballade annoncée par une intro à la guitare. en fait, ce morceau est vraiment pour reprendre son souffle avant la suite
After Al, qui commence sur les chapeaux de roues et qui ne fait que monter en intensité (et çà commence haut). Le chorus de bob berg qui finit le morceau en est l'image parfaite : il commence comme certain finirai leur chorus, c'est à dire très haut en intensité, et le pire, c'est qu'il parvient tout de même à monter encore. c'est à écouter, c'est tout simplement incroyable. c'est ce qui me fait dire qu'avec Brecker il fait parti des tout meilleurs saxophonistes de ces 10 dernières années. Mais comme Brecker, malheureusement, il est mort il y a peu. :o/

bref, encore un super album. ( Dans la même catégorie quele live à Tockyo en 1986 de Step Ahead, un poil derriere quand même).

y aussi des trucs que j'aime pas, mais j'attends pour vous les présenter car c'est vraiment pas évident à présenter. donc j'en réécoute certain avant de donner mon avis.