jeudi 8 février 2007

Even in the quietest moment


Je commence à nourrir un certain ressentiment envers la SNCF... et la RATP. ces deux sociétés sont celles qui me permettent d'aller au labo tout les jours. j'ai des temps de trajet que je califierai volontier d'assez long. Mais là, çà commence à vraiment devenir lourd... je m'explique. bloqué hier soir à Cité Universitaire, je suis obligé de quitter le RER pour prendre le Tram (très chouette au pssage), puis la ligne 4 pour remonter à gare du Nord... où je dois encore attendre 20 minutes un train...et tout çà devant les affiches ventant les metiers de la SNCF "anticiper pour mieux vous servir" ou "la technologie spatiale au service de vos transpors" et bien sûre, ils ont tous le sourire. Mais bon, forcément, vu le traffic quotidien çà doit pas être tout les jours facile. Le probleme est qu'il y a au moins 1 problème par jour. soit à l'allé, soit au retour... bref, cela me laisse le temps de lire et écouter de musique. Je pense ouvrir une section bibliothèque pour vous présenter les ouvrages qu je lis et qui me marquent. Pour les disques, encore un nouveau. Pas beaucoup d'audience sur ce blog mais au moins j'ecoute avec plus de diversité.
Aujourd'hui, le disque, c'est "Even in the Quietest Moment" du groupe anglais Supertramp. Enregistré dansles montagnes du Colordo pendant 2 mois en 1977 (là où été prise la photo de la pochette), cet album precede le très connu "breakast in America". Ce ft egalement un album qui se vendit bien. L'album s'ouvre sur "give a little bit", au son plutot entrainant. puis "Lover Boy", avec des tensions / solutions assez interressants. Le morceau qui suit est "even in the quietest moment", une longue progression qui va de plus en plus forte, jusqu'à un moment assz psyché, le trip et le retour sur terre. Suivent ensuite "Downstream" et "Babaji" pas trop connus et "From now on", déjà plus connus et très sympa avec ses choeurs à la fin, un de ces morceaux qui vous met la gnak le matin. Je m'attarde un peu sur le dernier : "fool's ouverture". Une chanson de plus de 10 minutes, fleuve qui s'ouvre sur un discour de CHurchill en 1940.quelques trompettes... puis le synthé qui lache quelques notes. notes qui se repettent. puis forme une base sur laquelle viennent la batterie puis le reste des instruments. et là c'est parti mon kiki pour un trip. Une vidéo en live de ce morceau est dispo sur Youtube, à voir ici.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

ils ont du avoir froid en jouant la haut

Nicolas a dit…

il avaient un petit chalet. mais ils pnt du revenir pour prendre la photo de la pochette de l'album. au fait, tu peux me repasser ton adresse de blog que je l'ajoute dans mes liens ?

Anonyme a dit…

www.sam-sool.skyblog.com voila. la perd pas cette fois ^^