mardi 27 février 2007

Strange place for snow




Au labo, y a un chercheur féru de jazz. Quand je lui fait écouter un turc nouvea, forcément, il connait déjà. Donc forcément, c'est lui qui m'a fit découvrir des choses. en l'occurence, le Esbjorn Svensson Trio (E.S.T). Un trio suédois. Piano (Esbjorn), une batterie (Magnus) et une contrebasse (Dan). Ils sont connus epuis 1993 en Suede mais la bombe a explosé en europe puis dans le monde qu'il y a peu. Je dits bombe car ce qu'il propose est véritablement innovant et jubilatoir dan sle monde du Jazz. Leurs morceaux sont à la limites de la pop et du jazz, mais en ne gardant que ce qu'il y a de bon entre les deux. je pense notamment à l'ajout de son éléctro dans les morceaux, mais sans en abuser. je pense à ces mélodies simples mais fabuleuses. Le paroxisme de ces concepts est présent sur la piste numéro 4 de l'album "strange place for snow" : behind the Yashmak". Un morceau de 10 minutes qui commence vraiment tranquillement et qui finit completement en "live", qui scotche sur son siege. Vous l'aurez compris, comme l'album precedent, j'adore.

lundi 26 février 2007

Un concert à l'eau de Cologne.


Alors que j'ai les écouter sur Otis Redding chantant "try a little tenderness", je m'en vais vous parler d'un autre album qui m'a beaucoup marqué. En fait mes parents l'avaient ne vinyl. Mais je ne savais pas trop ce que c'était. puis un jour, un copain de fac me présente cet album. il avait des bons gouts ce type. il s'appelait Pierre, il jouait de la Basse, adorait Pink Floyd et Jaco Pastorius (quand je vous disais que c'est un type bien) et me présente un jour ce disque que j'avais parfois entendu sur TSF sans jamais savoir ce que c'était. C'est un air assez connu, en fait un des disques de jazz les plus vendus au monde. sorti en 1975, joué par Keith Jarrett, le "Kölhn Concert". un concert entierement improvisé. 70 minutes d'extases musicales. A tout ceux qui s'attendent à un deluge de notes incomprehensibles, je dits que non, il ne faut pas partir sur ce type de prejugé. Keith Jarrett a commencé par le classique. Et çà se sent dans ce disque où on a vraiment l'impression de passer d'une ambiance à l'autre sans jamais vraiment changer. Cette oeuvre magistrale est composée de 2 parties, sobrement appelées parties I et II. Je pense que le meilleur moment pour ecouter ce disque, c'est (pour ceux qui peuvent), un soir au coin du feu ,allongé sur le canapé... eviter les endroits bruyant. cette musique aspire à la sérenité. Il n'y a que du piano (entrecoupé par les grognements de Keith), et c'est absolument génial.

Sinon, pour Pierre, à la fin de la maitrise, il est parti faire de l'environement et moi de la biochimie. on ne s'est jamais revu, mais il m'a fait decouvrir des trucs exellents, alors encore merci encore Pierre. et peut etre qui sait, à bientot. ;o)

ha, et puis au passage, voici ce que j'avais dans les oreilles :



Mais qu'est ce qui fout le Nico ?



La Nico, il a même pas pris le temps de vous écrire Vendredi dernier... je vous présente ses plus plates excuses. Pour me rattraper, comme tout les Lundi, je vous présente aujourd'hui un super CD. Pas aussi bien que Poncho Sanchez (mais çà c'est une histoire de goûts musicaux), mais un truc qui détonne et qui apporte quelques chose au Schmilblick, le jazz dans notre cas. Cet album, c'est Guillaume (qui joue de la batterie dans le groupe dans lequel je joue moi même du saxophone) qui me l'a conseillé et prêté. "tu verras, çà groove méchamment, c'est vraiment très bon" me dit-il. C'est du Roy Hargrove. un trompettiste américain que j'avais déjà entendu. il a un super son, et une technique époustouflante. J'ai beaucoup écouté un de ses albums, "Parker's mood" dans lequel il reprend des classiques de Charlie Parker en trio avec une basse et un pianiste. C'était super chouette, çà swinguait, j'étais accro dans une période où je recherchais pourtant de nouveaux saxophonistes. Et là, il revient avec un collectif musical, le RH Factor dans cet album : Hard Groove. En fait, Cet album est un mélange de Jazz, de Smooth Jazz (du jazz plutot très cool moderne), du rap, du hip hop, de la soul et de la Funk. Mais pas en même temps ! sur chacun des morceaux, Hargrove joue avec une pointure dans chacun des style présenté plus haut et du coup, chaque moreau est un peu comme un expérience dans chacun de ces domaine. chaque morceau à sa propre sonorité, influence et change totalement du précèdent. Le Mariage entre le Jazz et ces différents types musicaux est heureux.











Et Tant que j'y suis, je vais vous présenter le livre que j'ai lu la semaine dernière. Il s'agit du deuxième tome de l'antimanuel d'économie de Bernard Maris. Pour tout vous dire, l'économie, j'en ai fait pendant ma première année de lycée. Devant l'enthousiasme que çà a soulevé chez moi, j'ai décidé de faire des sciences moins humaines et plus biologiques : les sciences naturelles qui m'ont conduit là où j'en suis actuellement. J'ai jamais vraiment accroché à l'économie. En allant à la bibliothèque, je tombe sur ce bouquin sur un présentoir. Je me dits que çà peut être sympa un bouquin de "vulgarisation" de l'économie. et zouh, c'est partie. En gros, Ce bouquin est là pour expliquer aux gens comme moi qui n'y connaissent pas grand chose ce qu'est le capital, les investisseurs, la société de consommations, et plus particulièrement dans ce tome ce qu'apporte la recherce, les brevets au capitalisme. Il traite également de ce que c'est que le Peer to Peer, si c'est bien ou mal... Également un petit passage sur la psychanalyse des investisseurs.

Autant le dire tout de suite, il faut d'abord connaître l'auteur avant de se lancer dedans. Ce n'était pas mon cas, mais à force, on ne s'étonne pas ensuite de ses idées et de son parcours. En clair, on sent bien dans cet ouvrage que l'auteur n'aime pas trop les méchants investisseurs, maisons de disques, Microsoft and Co mais aime beaucoup les ouvriers, les pirates informatiques et les programmateurs Linux. c'est un peu tout blanc ou tout noir. Je n'étais donc pas trop étonné d'apprendre qu'il travaillait comme chroniqueur dans le journal Charlie Hebdo.
Ses arguments sont toutefois tout à fait recevables et intéressants. Quoi que parfois un peu capillotractés ( à ce sujet, je souhaite vous présenter ce dictionnaire totalement improbable qui m'a beaucoup fait rigoler : La langue xyloglotte).
Je dois avouer avoir eu un peu de mal au niveau de la psychanalyse des milieux économiques. En tout cas ce bouquin regorge d'anecdotes et de petites choses intéressantes pour les non-initiés comme moi.

jeudi 22 février 2007

Instant Party , Are you Ready ?



Je suis en pleine vague de nostalgie musicale. Je retrouve des chansons écoutées à la radio il y a longtemps, et je les achète en disque ensuite. Par exemple, je me souviens d'avoir écouté il y a au moins 3 ans de cela sur T.S.F un morceau mi-Funk mi-Salsa avec une pointe de Jazz. Un truc mortel qui vous met la pèche pour les 50 ans à venir. (ouais, j'ai la gnak, j'suis un Winner, j'vais tous les bouffer !!). J'ai assez vite trouvé le titre de ce morceau. Il s'agissait de "Cold Duck time" . Un froid de Canard. Rien à voir avec l'ambiance du morceau. J'arrive à me procurer le disque où il est joué pour la première fois par son compositeur, le saxophoniste Eddie Harris. "Swiss Movement" avec Less Mac Cann qu'il s'appelle ce disque. Enregistrement d'un live à Montreux en 1969. Hop, j'écoute la version de Cold Duck Time. çà ne ressemble pas du tout à mon souvenir. C'est assez froid, pas très en place, les chorus pas aussi enflammés. mmmh. Un petit coup de Google, un de RadioClub (et un de Emule, c'est vrai, j'ai essayé). Mais rien. pas une version qui ne ressemble à celle que j'ai entendu. zut.

Il y a 3 semaines, alors que je suis dans le RER, j'écoute la radio. En arrivant sur Paris, la Radio ne capte plus dans les tunnels, zut. je l'éteins pas. j'arrive à gare du Nord. çà commence à capter mais vaguement. on discerne le morceau qui se joue. çà me rappelle quelques chose. Et en effet, arrivé au niveau des quais en surface, j'entends les dernières notes, je reconnais de suite, c'est çà !!! zut, ma radio se
coupe, pas le temps d'entendre le nom de l'artiste. heureusement, j'ai pu profiter de ce qu'il n'y avait pas il y a 3 ans, la playlist dispo sur internet. un coup d'oeil m'indique que l'artiste, c'est Poncho (comme dans la série "CHIPS") Sanchez (comme dans tout les films où il y a soit un espagnol, soit un trafiquant de drogue sud-americain). Poncho Sanchez. te voilà, je te tiens, un passage éclair sur Amazon et quelques euros en moins (et un DVD en plus qu'il faudra que je vous présente), je reçoit chez moi "Instant Party" de Poncho Sanchez....


Poncho Sanchez, c'est un percussionniste américain et qui est considéré comme l'un des meilleurs. moi je sais pas, des percussionnistes Salsa-Jazz américain, j'en connais pas tant que çà. ;o) Par contre, il a l'air franchement sympa, vous trouvez pas ?
C'est en fait
une compil'. mais il n'y a quasiment que du bon. Quasiment, car je ne suis pas un super fan de la Salsa, je trouve des fois que c'est un peu répétitif. on trouve donc notre "cold duck Time", mélangé avec un autre morceau bien funky. Je n'ai pas regardé la pochette, mais le saxophoniste qui fait le chorus a un son chaud et un phrasé tout à fait chaleureux et intéressant. on trouve aussi une reprise de "Watermelon Man".
On retrouve également quelques collaboration avec Pee Wee Ellis, Fred Wesley ainsi que Ray charles. Du lourd, du très lourd qui se marrie Très bien avec le son d'ensemble. Pas trop la peine de présenter le dernier, mais les deux premiers sont d'excellents musiciens de Funk qui collaborent souvent avec Maceo Parker. Ce Dernier était le saxophoniste de James Brown puis est parti faire une carrière solo très réussi. James Brown qui sera bientôt inhumé, puisque sa famille s'est enfin mise d'accord pour l'héritage et le lieu d'inhumation. Il était temps, il devait commencer à s'impatienter le pauvre.

Bref, un super disque qui m'enchante.


mercredi 21 février 2007

Fahrenheit 451


451 degres Farhenheit, c'est la température à laquelle le papier brule. Farhenhet 451, c'est l'histoire de Guy Montag. Ou plutot de son reveil. Nous ne savons pour ainsi dire que peu de chose sur le monde dans lequel il vit. certainement un regime totalitaire. Mais à la rigueur, ce n'est pas le plus important. Le plus important est que ce monde est subjuué par les divertissements et les loisirs, un monde où les gens se croisent sans se connaitre, un monde où l'on connait mieux les histoires des personnages de Sitcom que celles de notre entourage. Un monde où les idées subversives des livres sont interdites, et où les livres doivent être détruits, brulés. Guy Montag est pompier. son rôle n'est pas d'eteindre les incendie, mais de bruler les livres. Jusqu'au jour où il rencontre Clarisse, une jeune fille qui passe pour anormale et qui déclenche en lui un mécanisme qui le poussera à commettre l'impensable, lire un livre...

Ecrit en 1953 par R. Bradubury ce livre conserve toute sa saveur plus de cinquante ans après. Comme précisé dans la préface, ce n'est plus la destruction des livres qui est a craindre, mais bien l'abrutissement des masses qui est déjà en cours et qui est l'un des thème du livre. On y sent également la peur du nucléaire, de la guerre nuléaire ainsi que la chasse au sorcière. Ces deux thèmes sont completement contemporain à l'ecriture du livre, puisque c'etait alors la guerre de Corée et la prière bombe atomique russe (=> peur de la guerre nucléaire) et la pleine periode du Maccarthisme, période durant laquelle une veritable chasse aux communistes est lancée aux Etats Unis.

Ce livre est très bien écrit, avec beaucoup de poésie. En ce sens, çà ressemble à "chroniques martiennes" du même auteur. On peut le lire aussi bien comme un roman d'anticipation qu'un roman ou un essai. A lire d'urgence !

Je finirai par une citation d'un des pompiers :

"Si vous ne voulez pas qu'un homme se rende malheureux avec la politique, n'allez pas lui casser la tête en lui proposant deux points de vue ; proposez-lui-en un seul. Mieux encore : ne lui en proposez aucun"


Fahrenheit 451,
de Ray Bradbury
Edition Denoël, coll. Presence du Futur, 1995
Isbn : 2.307.30544.9
Réédition: Edition Gallimard, Folio SF, 2000
224 pages, ISBN: 2070415732

mardi 20 février 2007

Grandeur et Décadence à Jussieu.

Jussieu, pour tout le monde, c'est l'amiante. Pour un étudiant qui ne connaît pas et qui souhaite se renseigner, sur le site de la fac, c'est çà :

Mais à la première visite, on tombe de (très) haut, et on se retrouve face à la réalité :

des locaux à la limite de l'insalubrité, mal entretenu et qui accusent le poids du temps.
Je n'y suis que 2 jours par an (inscription + journée doctorale) mais c'est déjà beaucoup pour moi... mais songez aux étudiants qui viennent de l'étranger pour venir étudier en France... quelle image... surtout vu le prix des inscriptions. Je sais bien que ces prix sont bien en dessous des prix pratiqués par les écoles privées, mais eux au moins disposent de locaux en meilleur état et surtout d'une formation leur assurant quasiment un travail à la fin de leur cursus... je ne m'engagerai pas cependant sur un débat différences Fac / écoles privées car ce n'est pas le but du message. Juste pour vous indiquer des photos des meilleurs endroits de Jussieu...

le baton ! le baton !


Ok , Ok, pour les 3 personnes qui lisent mon blog (je suis optimiste), je vous prie de m'escuser pour le retard. 4 jours sans publier, c'est inadmissible. Surtout que j'ai un paquet de chose à vous raconter. Mais le temps manque...

procedons par étape; tout d'abord, CD du jour, bonjour.

Aujourd'hui, ce sera "A Rush Of Blood to te head" du groupe britannique "Coldplay". En trois albums grand-public (après des debuts difficile en auto-production) Ce groupe a su s'imposer comme incoutournable dans le courrant "pop-rock britannique". Le premier album, "Parachute" est celui qui les a fait decouvrir, le second que je vous présente est une confirmation tandis que le troisieme est considéré comme moins bon. Bref, ce deuxieme album, qu'en est-il ? à part les chansons "Clock" , "the scientist" et "in my place", l'ensemble est assez homogene, c'est à dire plutot bonne. On se laisse aller entre les morceaux. Jamais très violent, souvent assez planant en fait. j'apprecie tout particulierement les deux derniers morceaux de l'album, "A Rush of blood to the head" et "Amsterdam 5"19" ainsi que le premier, "Politik", avec sa rupture entre le début qui fait assez "haché", limite opressant et la deuxieme partie beaucoup plus calme et planante et reprenant pourtant le theme de la première partie.
Un album plutot sympa à ecouter. je l'ai ecouté d'ailleur en boucle pendant une semaine l'année dernière afin de le decortiquer et je pense que je l'ai trop ecouté à present.





Et pour me rattraper de mon absence répétée, je vais vous faire une petite critique de film.

Je vais donc vous parler de "Fusion-The Core". Un film catastrophe de 2003. Je ne savais même pas que c'etait sorti au cinéma, mais mon collegue qui m'a fait decouvrir le film à suspense rural m'a donné le synopsis de celui ci et je dois vous avouer que j'avais envie de me mordre les levres. En substance : La noyau de la terre s'arrete de tourner, y des problemes au niveau du champs magnetique terrestre, c'est la fin du monde, heureusement les americains envois un vaisseau au centre de la terre pour faire peter une bombe atomique et relancer le noyau"...
tout un programme. Ca sent la serie B, çà ressemble à de la série B, çà sonne comme une série B et en fait, c'est une véritable série B. Malgres la prestation de quelques acteurs connus (Aaron Eckhart, Hilary Swank - Million dollard Baby quand même- et notre Tcheki Karyo national) on s'ennuit à mourrir. les personnages sont archi-stereotypé :
-Le gentil scientifique qu'on sent bien qu'il va survivre, qu'il a de super-idée, le sens du sacrifice etc...
-le méchant scientifique : il prend le gentil de haut, il est imbu de sa personne et couard, mais on sait bien que juste avant de mourrir il fera un acte de bravoure.
-l'autre super scientifique : c'est lui qui a cré le vaisseau qui va dans le noyau. c'est une tete, il ne s'entend pas du tout avec le precedent personnage. il considere le vaisseau comme son joujou et se sacrifiera à la fin dans le reacteur du vaisseau pour sauver tout le monde (il doit appuyer sur un bouton situé à l'exterieur du vaisseau, là où il fait 5000°C alors que sa combinaison ne peut en supporter que 2500°C. alors 1) c'est franchement mal fichu comme vaisseau mais 2) çà donne un pretexte pour tuer un des perso et 3) il arrive quand même à tenir 5 bonnes minutes (!!!!) et 4) l'acteur joue très bien celui qui a chaud.
- le scientifique pôte du gentil : c'est Tcheky, c'est le pote, donc il doit mourrir. çà finit toujours comme çà. ouin, il avait une femme et des enfants.
-le pilote : super pilote capable de poser une navette spatiale en plein centre ville de Los-Angeles (je rigole pas, ils le fait dans le film ;oD). il est super doué mais il doit mourrir car :
-il a sous ses ordres la seule nana de l'equipage, une super douée du pilotage qu'il faudra bien qu'on voit à l'oeuvre, sinon çà sert à rien qu'elle soit super bonne en pilotage(vous suivez ?). En tout cas, c'est plié, on se doute bien qu'elle va finir avec notre gentil scientifique.

en marge de ces personnages, nous trouvons les classiques generaux sans morale tres tres mechant quiont l'air gentil, les super hacker capable de te rendre le telephone gratos avec un ticket de metro usagé et qui ont piraté 589 fois le serveur du pentagone... etc....

l'action se resume :
1-mon dieu, la terre est sujette à des phenomes destructeurs inexpliqués (toujours dans le centre ville d'une grande ville).
2-mon dieu, la terre arrete de tourner, on va changer çà
3-on se prepare et on construit un vaisseau en forme de supositoire
4-on plonge
5-on est confronté à de nombreux incidents, les personnages meurent les un après les autres de manière heroique (ou presque)
6-on fait peter les bombes (apres s'etre rendu compte que çà pourrait peut etre ne pas marcher mais 5sec et 5 pages d'equation apres on trouve la solution-bidon).
7-on remonte comme on peut, le mechant general devient taré
8-les gentils on gagné, les mechants sont punis.

un peu comme Armaggedon en fait, mais sous terre... et çà dure 2 heures !!!preparez vos oreillers...

Pour celles et ceux qui pensent que je ne regarde que des films nuls, je suis en train de regarder la trilogie des trois mousquetaires, et çà par contre, çà decire sa maman comme ils disent. ;o)



jeudi 15 février 2007

Radio blog CLub

Youpi,

grace à Radio Blog Club, je vais pouvoir vous mettre des echantillons de musiques d'albums que je vous fais decouvrir. je vais essayer de remettre çà en place pour les post déjà écris. :o)

C'est la St Valentin.


Hier, c'était la Saint Valentin. J'avais reservé une table dans un petit resto chinois près de chez nous. En rentrant du boulot je vais donc chercher l'accompagnement classique mais idéal pour ce genre d'occasion : des fleurs. en fait, une fleur. Une rose blanche. j'ai décidé d'ailleur d'offrir une rose blanche toute les semaines à Cathy. Forcement, y a la queue chez le fleuriste. Qui ne s'est pas privé de doubler ses tarifs depuis la semaine dernière... il fallait s'y attendre, mais quand on aime, on ne compte pas.
Le resto etait sympa. nous etions placé dans une petite salle assez sombre. et nous avions une petite bougie de bruleur sur la table. je l'allume. la serveuse en nous apportant l'apperitif nous montre la bougie en nous annonçant gentiment : "c'est romantique". Cathy et moi nous nous sommes sommes regardés, ne comprenant pas où se situait le romantisme dans ce malheureux bougeaoir posé sur la table, sans déco ni quoi que ce soit. Juste un truc en alluminium, avec de la paraffine blanche. D'ailleur, pour les amateurs de bougies (il y en a peut etre qui me lisent), voici l'article lien).
A part ce moment de romantisme, la soirée s'est tr-s bien déroulée, merci.

Album du jour : haha, un classique pour moi. Step Ahead, nom du groupe qui donne également ce nom à l'album. c'est du jazz-fusion. comprennez par là melange plus ou moins reussi de jazz et de rock. Nous avons donc là le créateur du groupe, le seul fixe dans tout les albums : Mike Mainieri. On trouve egalement des habitués, Michael Brecker au Saxophone et
Peter Erskine à la batterie (admirez le copié-collé). on trouve également Eddie Gomez et Eliane Elias. Une première partie très chouette, avec de bons morceaux (Pools, Island, Self Portrait) au début. les 3 derniers par contre m'ont beaucoup moins plus. d'abord Skyward bound (un peu comme trio, le dernier morceau de l'album), qui m'a rappelé les pires moments de la musique des années 80 : synthé très... synthè, boite à rythmes, melodie hachée, c'est du sous "Rock it". "Northern Cross" se demarque un peu. non pas qu'on ait l'impression de changer d'epoque, mais çà fai plus fin de film d'action de ces années. c'est chouette à entendre, c'est calme mais je ne pense pas que çà plaise aux vraix mordus de Jazz. perso, j'aime bien. Au niveau du bilan, c'est un peu mitigé : une exellente premiere partie avec des chorus exellents mais la deuxieme partie qui est assez mauvaise... dommage. Pour ceux ui veulent (presque) le même groupe avec de très bons morceaux, rendez vous avec le live à Tokyo en 86 dont je vous parlerai plus tard et qui est lui une petite merveille.

mercredi 14 février 2007

Chet Vient me reconforter dans le train le soir.



Hier soir, Réunion du CA pour l'association Doc'Up pour laquelle je suis chargé d'une commission pour garder le contact avec les anciens membres de l'association. Je ne suis pas au CA, je n'ai pas le droit de vote, mais en tant que responsable de commission, je me dois d'être présent. je n'ai pas de droit de vote. je regarde, j'argumente, mais je vote pas. çà peut etre frustrant. mais bon. debut à 19h, la reunion s'eternise. je n'en vois pas la fin.
20h30. je commence à avoir faim .
21h. je baille
21h30 : vite un texto discretement pour prevenir cathy que je suis en train de mourrir.
22h : j'agonise. non, c'est bon çà vient de finir. ouff... quelques mails à recuperer, un sprint et zouh je saute dans un RER. manque de bol, 1
5 mintes d'attentes à gare du Nord. je ne rentrerai pas avant 23h... je me sens las. je mets les ecouteurs du balladeurs. je lance la musique. que du nouveau, j'ai changé la Playlist. Je tombe alors sur l'album "Chet Baker Sings" de Chet Baker. Quasiment que des ballades, avec la voix très douce, à la limite de l'estinction de Chet Baker. un vrai bonheur à ce moment là. Une grosse boule moilleuse vous emplie à ce moment là, c'est reconfortant. Pour être plus rigoureux que cette boule moileuse qui vous envahit, Chet etait un trommpetiste surtout connu pour ses album des années 50-60 (comme celui que je vous présente). il a un jeu très calme, tres doux, dans le regstre des medium, comme la voix humaine. il lui arrive aussi de chanter, dans le même registre. Il etait surtout dans le courrant jazz "West Coast", cool et melodique en opposition complete à l'epoque avec les jazzmen de la cote est qui dans les clubs de New Yor ou Chicago mettaient le feu avec des improvisation sur des rythmes endiablés. Chet Jouait completement à l'opposé de sa vie, puisque il a plongé de nombreuses fois dans la drogue, s'est fait tabassé par des dealers, ait une cure pour replonger aussitot apres. il a vecue pas mal de temps en europe, surtout en france et en Hollande ou il mourra defenestré en 1988.


mardi 13 février 2007

Come into my swing !



Quand j'étais à la Fac, enfin, quand j'etais à la Fac et que j'étais plus jeune car je suis toujours à la Fac (enfin 2 jours par ans pour s'inscire) mais moins jeune, donc ... je me suis perdu dans ce que je voulais dire.

Plouf-Plouf.


Il y de çà 5-6 ans, une association de la Fac organisait des petits concert le midi. Des groupes du coin, c'etait sympa. Souvent etiquetées "musique du monde" car c'est vrai, le reggae par exemple, cets une musique federatrice tu voix mec, ouaihh. bref, un jour, y a 3 types qui se sont pointés avec des guitares seches. rien d'autre. pas un micro. pas un ampli. juste 3 chaises, 3 mecs, 3 guitares (et donc 3 jeux de cordes) y en avait un avec une casquette. et ils se sont mis à jouer. une tuerie. du Jazz Manouche comme j'en avais rarement entendu. Une legereté dans le phrasé des solos (surtout ceux du type avec la c
asquette), une rythmique hahurissante - pas besoin de batterie, et un swing monstrueux. je suis resté scotché sur ma chaise à les ecouter, j'en ai presque oublié de manger. c'est dire. l'un des 3 bonshommes (celui à la casquette), je l'ai appris après, c'etait Angelo Debarre. Je vous propose aujourd'hui de le decouvrir dans cet album, "come into my Swing". Il est ici avec Ludovic Beier à l'accordéon (attention, çà n'a rien à voir avec de la musette, çà swingue diablement !) Antonio Licosatu à la contrebasse. Pas de batterie donc, mais là il n'y en a vraiment pas besoin. C'est leger, entrainant. Pas mal de compositions mais egalement des standards (Mister Sandman par exemple). bref, je vous le recommande chaudement.
un extrait ici. Vous y trouverez egalement un article sur cet album, mieux ecrit que le mien mais bon, je débute moi. ;o)

lundi 12 février 2007

Les Bienveillantes


Ce livre écrit par J. Litell a reçu le prix Goncourt 2006. Il raconte de manière autobiographique la vie d'un allemand, Maximilien Aue qui souhaite raconter pour des raisons qu'il précise dans le livre ce qu'il a fait pendant la seconde guerre mondiale. Durant cette période, il servit en tant qu'officier dans la SS. Engagé comme simple gratte-papier, il sera embarqué dans les Einsatzgruppen, ces troupes qui suivaient l'avancée de la Wechmacht en Russie et massacraient les partians, tziganes, juifs, handicapés.... en 5 ans, à 1500, ils tuerent 1.500.000 personne. Son péiple le menera vers les differents points chauds du front. il participera ensuite à la solution finale en supervisant certains points depuis ses bureau de Berlin.
Avant de commencer, on peut avoir de nombreux à priori. Il ne s'agit pas d'un livre ervant de pretexte ou d'escuses à ce qu'il s'est passé à cette époque. Nous suivons là les pas d'un homme comme nous, qui a eu les mêmes aspirations mais qui n'a pas eu forcement le choix de les realiser dans sa vie. Son analyse de la situation est froide, méthodique. Passé les 200 premières pages, on arrive ensuite à lire la suite sans trop de problème. ces 200 pages sont un cap pour plusieurs raisons :
-le vocabuaire utilisé, notamment les grades ne sont pas forcement evident à comprendre
-le nombre important de personnages, parfois difficile à retenir ou à replacer.
-la violence. crue, brutale. certaines scenes tordent le ventre...on se rememore alors toute ces images que l'on a pu voir un jour à la television ou en photographie. je ne dirais pas qu'on s'y habitue, mais presque. la violence change d'ailleur. de physique, elle passe à psychologique quand on perçoit les resonnements tenus par les Nazi. Comme ce Gelauter qui souhaite constuire un zoo avec des specimens de toutes les races qui ont été exterminé par le Reich.
Mais on se laisse emporter dans cette histoire, on se laisse accrocher par Maximilien, personnage très complexe à l'histoire tordue, qui se cherche constamment. une bonne partie de l'histoire traite ainsi de sa vie privée, familiale. Et il nous prends comme témoin, nous parle entre deux histoires... Tout est romancé mais parait si vrai (il faut dire que tout est bien documenté).

bref, un grand roman qui ne laisse pas indifférent. qui fait beaucoup réfléchir sur la condition des hommes...

Matine à la Ferme




c'est l'histoire d'un film qu'on m'a prété en DVD, un film de frissons ruraux. Quand on me l'a présenté comme un film avec des vaches mutantes, je me suis dit que j'allais encore voir un de ces nanars aux moyens limités, aux acteurs ridicules et aux décors en carton pates. je lance la galette, et me voici parti dans "isolation", un film Irlandais de 2006. c'est donc l'histoire d'un fermier couvert de dette qui accepte qu'une société fasse des experiences sur son betail pour un peu de sous. les experiences forcement tournent mal. En gros, et pour faire vite, les manip's visent à accelerer la croissance des bebes genisses pour gagner du temps. Le temps de gestation est donc raccourci. auf que les genisses dans le ventre de leurs maman sont déjà enceintes de foetus.assez difformes qui sautent sur tout ce qui bougent. et qui contaminent les humains. bref, la fin du monde n'est plus si loin à cause encore une fois de ces savants fous. "Mon dieu, c'est horrible professeur !" "ne vous inquiétez pas, je suis là, venez contre moi..."

bref, c'est un peu tourné à la X-files. l'ambiance est très sympa, le decor (une ferme) est assez terrifiant vu sous cet aspect. y a que le monstre qui est pas top. une bonne surprise donc. Ne partez donc pas avec des a priori et laissez vous tenter par une ptite tranche de vache mutante-tueuse.
Juste une dernière remarque sur la représentation des scientifiques dans ce film. là, ils ont un mini labo sur place. pas courrant, mais çà peut se comprendre. et pour une fois, çà ressemble (presque) à un vrai labo. Avez vous remarqué dans ces séries policières les supers labos avec néons de toutes les couleurs, les ecrans plats à droites et à gauche avec une molecule d'ADN qui tourne ? he bien je dois vous dire que non, çà ne ressemble pas à çà dans la vraie vie (enfin, dans tout les labos que j'ai pu visité). Donc, dans notre film, le labo, c'est quelques pallaisses, des etagéres retro-éclairées (la classe), deux ptits microscopes, un portable avec Powerpoint où quand t'appuis sur une touche les resultats apparraissent automatiquement. par contre, on regretera les paillasses retroéclairées, pas très réalistes, mais c'est vrai, çà peut faire son petit effet avec un micro-monstre (qui ne ressemble à rien Cf la photo) posé dessus.

Sinon, And now, something completly different, album du jour bonjour.
Désolé, j'en ai pas fait ce week end, t c'est pourquoi je vais vous en faire DEUX aujourd'hui. oui, deux pour le prix d'un. étonnant, non ?

Le premier, c'est "the Thieving Magpie" du groupe progressiste anglais "Marillion". Ce groupe fut longtemps comparé à Genesis. ils en sont les contemporains mais n'ont pas eu le même succès. du moins en france puisqu'en Angleterre ils ont bien marché parait-il. Le groupe est egalement connus pour ses pochettes de disque assez moche. bon, les dessins, on aime ou on aime pas. l'album est un Live qui est sortit juste avant que le chanteur charismatique s'en aille (un prénomé "Fish").

Le premier disque est en fait un mic-mac de differents live, les morceaux s'enchainant avec le public en fade... bof bof. le deuxieme disque, plus interressant est en fait le live d'un album conept : Misplaced Chilhood. tout les morceaux sont attachés les uns aux autres et en fait on a l'impression de n'avoir qu'un seul long moreau. C'est du rock assez mélodique, la voix du chanteur est assez particulière. les mélodies ou riff rentrent facilement, on les retient, ils reviennent de temps à autre. un seul truc vraiment deplaisant, c'est le synthé, tout droit sorti des années 80.

Le deuxième... haaaa.... Celui là c'est l'un des premiers CD que j'ai écouté en boucle. le"very best of" Elton John.
C'est un best of, donc on choisit pour vous le meilleur. mais là les classiques sont sympa. il y a tout ce qu'il a fait dans ses 20 premières années de carrieres. il y a quelques reprises qui je trouve n'apportent pas grand chose : pindball wizzard des Who et Lucy in the sky with diamond des Beattles. j'adore le classique "Don't let the Sun go Down on me" ou "Don't go breaking my heart". un bon best of quoi. :o)








vendredi 9 février 2007

lente rémission des manip' qui foirent.

Je me remets doucement de mon plantage de manip' d'hier. je m'en mords encore les doigts. je suis complètement claqué. en plus de rentrer tard du boulot, je sors quand j'ai le temps. Pour me remonter le moral, voici un petit disque : les doubles six. C'est quoi donc ? un groupe de jazz vocal français. Sur des standards de jazz réarrangés par Quincy Jones, des chanteurs reprennent les thèmes connus à la voix ainsi que les solos qui ont été joué par de grands noms du jazz. ils sont accompagnés par une rythmique excellente. On colle des paroles sur les thèmes et chorus ("A night In Tunisia" devient "Y parait qu'on peut voir en Arabie des milliers de tapis volants". )
ce disque est une réédition d'un disque des années 59-60. et çà s'entend. non pas que la qualité soit médiocre, au contraire, mais au ton des voix et le style, c'est assez caractéristique. mais c'est vraiment chouette à écouter. on comprend pas toujours les paroles car çà va vite, très vite.
je rajouterai un commentaire d'un internaute sur le site de Amazon, et avec qui je suis totalement d'acord :
"
Je mettrais deux bémols (puisqu'on parle musique) à cela:

1) Deux CD en un seul, dans ce cas présent, c'est trop. Je sature au plus tard à mi-parcours. Bien sûr, je pourrais m'auto-discipliner et arrêter le CD lorsque j’en ai assez. Mais généralement, je place un disque dans mon lecteur pour l'écouter jusqu’à la fin. J’aurais préféré une version avec deux CD.

2) C'est un essentiel à "écouter techniquement" (la technique – rythmique, organisation harmonique et mélodique - du mouvement Swing des années 30-40) et par curiosité, amusement. Notamment pour les francophones qui comprendront plus facilement les paroles. Mais je le trouve cependant difficile à "entendre passivement", ce que le Swing permet d’ordinaire avec brio contrairement aux mouvements Jazz plus modernes."

jeudi 8 février 2007

Les Trois Mousquetaires

Bon, ben du coup, comme j'ai planté ma manip' et que je sais exactement pourquoi, j'ai un peu de temps (pour une fois) devant moi. Je vais en profiter pour vous présenter un bouquin qui m'a marqué. Il s'agit des 3 mousquetaires de Alexandre Dumas. Les 3 mousquetaires, c'est l'histoire de D'Artagnan, jeune Gascon montant Paris et cherchant à rentrer dans le rang des Mousquetaire de Mr Treville. Mais il devra faire face aux plans machiaveliques du Cardinal de Richelieu, prêt à tout pour discréditer la reine (çà se passe au temps de Louis XIII) avec ses propres mousquetaires ainsi (et surtout) grace à ses deux agents : Rochefort et la aussi belle que dangereuse Milady. Mais D'Artagnan croisera sur sa route de nombreuses personnes qui l'aideront, notament les 3 mousquetaires Athos, Porthos et Aramis. Sans vous en dévoilez davantage, sachez que l'action nous menera un peu partout en france et en Angleterre, qu'il y a de l'action, de l'amour, du suspence.

J'ai commencé à lire ce bouquin sous forme de E-books, sur mon ordi. heureusement en fait, car si j'avais vu le nombre de page à lire, je ne me serais pas jetter spontannement dessus. là, j'ai vu le fichier, je me suis dit : "pourquoi pas ? lisons un classique, c'est bon pour la culture parait-il". et je fu incroyablement surpris par le ton et l'ecriture. c'est très facile à lire. Il y a très peu de temps morts, et l'intrigue est monté de telle manière qu'on ne peut pas s'arreter. Dumas s'arrange d'ailleur parfois pour lancer quelques piques contre en vrac : le pouvoir, la religion... c'est exellent à lire. les personnages sont détaillés etsont tous attachant et interressant. En particulier Milady, personnage complexe, terrifiante et mysterieuse au début et qui finit par être attachante.
On ne se rend pas compte du nombre de page, c'est captivant d'un bou à l'autre. C'est pour moi un exellent roman d'aventure..

c'est la ca, c'est la cata, c'est la catastrophe...

journée pourrie, je viens de planter une manip' importante qui m'aurait permise de vérifier des résultats importants... j'ai envie de casser quelques chose histoire de défouler. je vais peut etre me saouler ce soir....non, l'alcool n'est pas forcement la solution...

Il ne me reste pas plus de 6 mois pour terminer mes manip' avant de rediger ma these qu'il faudra que je soutienne avant la fin de l'année... du coup y a un peu de stress dans la mesure où j'ai pas tant de resultats que çà depuis le début de ma thèse. depuis 3-4 semaines, j'ai enfin obtenu des résultats interressants mais il me fallait faire des vérifications pour les vérifier... et là, je ne peux pas les faire cette semaine car j'ai tout foirer... ma culture de cellules.... :o/ j'ai envie de casser ou tuer quelqu'un... grrrrr...

Even in the quietest moment


Je commence à nourrir un certain ressentiment envers la SNCF... et la RATP. ces deux sociétés sont celles qui me permettent d'aller au labo tout les jours. j'ai des temps de trajet que je califierai volontier d'assez long. Mais là, çà commence à vraiment devenir lourd... je m'explique. bloqué hier soir à Cité Universitaire, je suis obligé de quitter le RER pour prendre le Tram (très chouette au pssage), puis la ligne 4 pour remonter à gare du Nord... où je dois encore attendre 20 minutes un train...et tout çà devant les affiches ventant les metiers de la SNCF "anticiper pour mieux vous servir" ou "la technologie spatiale au service de vos transpors" et bien sûre, ils ont tous le sourire. Mais bon, forcément, vu le traffic quotidien çà doit pas être tout les jours facile. Le probleme est qu'il y a au moins 1 problème par jour. soit à l'allé, soit au retour... bref, cela me laisse le temps de lire et écouter de musique. Je pense ouvrir une section bibliothèque pour vous présenter les ouvrages qu je lis et qui me marquent. Pour les disques, encore un nouveau. Pas beaucoup d'audience sur ce blog mais au moins j'ecoute avec plus de diversité.
Aujourd'hui, le disque, c'est "Even in the Quietest Moment" du groupe anglais Supertramp. Enregistré dansles montagnes du Colordo pendant 2 mois en 1977 (là où été prise la photo de la pochette), cet album precede le très connu "breakast in America". Ce ft egalement un album qui se vendit bien. L'album s'ouvre sur "give a little bit", au son plutot entrainant. puis "Lover Boy", avec des tensions / solutions assez interressants. Le morceau qui suit est "even in the quietest moment", une longue progression qui va de plus en plus forte, jusqu'à un moment assz psyché, le trip et le retour sur terre. Suivent ensuite "Downstream" et "Babaji" pas trop connus et "From now on", déjà plus connus et très sympa avec ses choeurs à la fin, un de ces morceaux qui vous met la gnak le matin. Je m'attarde un peu sur le dernier : "fool's ouverture". Une chanson de plus de 10 minutes, fleuve qui s'ouvre sur un discour de CHurchill en 1940.quelques trompettes... puis le synthé qui lache quelques notes. notes qui se repettent. puis forme une base sur laquelle viennent la batterie puis le reste des instruments. et là c'est parti mon kiki pour un trip. Une vidéo en live de ce morceau est dispo sur Youtube, à voir ici.

mercredi 7 février 2007

Bob Berg - Cycles.


encore une journée qui passe. Et il neige... j'y comprends plus rien avec le temps. Ce week end il fesait ben 14°C dans l'apres midi, grand soleil et là il neige... bon, çà tient pas pas, mais quand même c'est bizarre.
un nouvel album dans ma liste, comme covenu. il s'agit de "cycles" de Bob Berg. Bob Berg est un saxophoniste ténor, mais parfois aussi soprano. il a surtout joué dans les années 80-90. mort en 2002 suite à un accident de voiture. il a un son très puissant et une rapidité deconcertante. Il groove bien et arrive à faire sortir des sons pas croyables avec son sax. C'était un pôte de Brecker, on disait d'ailleur qu'ils étaient de la même école, celle qui suivait l'heritage de Coltrane notamment...

Sur cet album enregistré en 88, nous avons donc Bob Berg en leader accompagné notamment de Mike Stern à la guitare, Dennis Chamber à la Batterie et Don Grolnick à l'orgue. Y en a d'autres, mais je ne les connais pas trop. Dans l'ensemble, du beau monde donc, à part peut etre Mike Stern (je sais qu'il ne plait pas à tout le monde). Les Morceaux sont pas trop free, je veux dire que pour quelqu'un qui aime bien ce qui a un minimum de mélodie, çà lui plaira. il y a pas mal de très joli theme, notament dans les ballades. Au niveau ressemblance, je trouve que çà ressemble à Sixun. faudra d'ailleur que je vous parle un jour de ce groupe là.

un album très chouette à écouter donc.

mardi 6 février 2007



Vous avez le Hoquet de manière régulière et persistante ? pas de problème. Une nouvelle technique semble fonctionner pour arêter ce phénomene physiologique pour le moins embetant. Les travaux de M. Odeh, H. Bassan et A. Oliven (cliquez ici) semblent indiquer qu'un massage avec le doigts au niveau du rectum semble fonctionner. Un deuxieme effet Kiss-Cool ?

Il convient de noter que ces sympathique scientifiques, qui font honneur à leur professions ont reçu le IG Nobel (prononcez "ignoble") de medecine 2006. il en fallait pas moins.
Au sujet de cette ceremonie, notons au passage le prix de physique gagné par une équipe qui a étudié la pression necessaire pour la defecation correcte chez le pingouin (C.f l'image de ce post...)

CD du jour, bonjour.


c'est épatant ce truc de blogger. çà mache tout seul, c'est du "prêt-à-blogger". y a plus qu'à déposer les doigts sur les touches pour faire de belles phrases, appuyer légérement sur la souris pour ajouter de belles images. Tout cela ne necessite en fait que très peu de connaissance en informatique. j'ai rajouté deux sections. la première, c'est "CD Du jour bonjour", où je mettrai la liste des albums que j'ai écouté dans la journée. l'autre, c'est les liens. vous verrez que j'ai une certaine attirance pour les blogs BD. mon talent de crayonneur n'est pas très developé, aussi je m'abstiendrai de les imiter en fesant de bô dessins. Remarquez, Robert Cash avour lui même être un pietre dessinateur (et c'est vrai). Mais je n'ai pas la même liberté de ton qui me permettrai de rendre la chose interressante.
CD du jour, donc ce matin je me suis écouté l'album de Muse : Absolution. Exellent album de ce groupe. peut etre le meilleur. je ne pense pas avoir besoin de présenter les musiciens ni l'album dans le détail, il y a des milliers de sites de fan qui s'en chargent.

à+

lundi 5 février 2007

Le Lecteur


Du fait de mes très nombreux et très longs voyages, je me suis mis à lire comme je l'avais rarement fais auparavant. La lecture et moi, c'est une histoire assez complexe. A coups de "je t'aime, moi non plus". Tout d'abord, avoir une mère bibliothécaire, çà aide quand on est petit. Inscrit à la bibliothèque municipale étant petit, j'empruntais un paquet de bouquins dont 75% étaient des bande-dessinées. Entre les aventures du Scrameustaches et des petits hommes, j'arrivais à engloutir les volumes de la bibliothèque rose puis verte. Ma mere me donnai souvent des reccueil à lire, des trucs à tester avant de les mettre sur présentoirs. C'est ainsi que vers 10-11 ans, je me suis retrouvé avec un certain "Jurassic Park" de Michael Crichton. il faut dire qu'à l'époque, les dinosaures, c'etait ma passion. Entre les Bidulosores et les Trucausores Rex, je connaissais presque tout. enfin, c'est ce qu'il me semblait. Innutile d evous dire que mon passage favori dans Fantasia, c'était le passage avec les dinosaures. Mickey et son balet magique, j'en avais rien à cirer. J'ai donc entamé la lecture de ce bouquin. j'ai pas tout compris à l'époque, et je pense que mon esprit a du faire abstratction de certaines scènes plutôt (le chien de Mickey) violentes. Bref, je lisais un peu ce qu'il me plaisait. Arriva l'époque Collège/ Lycées. Ce fut terrible : Imaginez : alors que je prenais des livres pour lire de belles histoires, imaginer de nouveau lieu on m'obligea à lire des bouquins au cours des périodes scolaires. Horreur. Non pas que ces bouquins soient nuls mais rien que le fait qu'on m'oblige à lire, je bloque. çà a beau être un classique, un bouquin super bien ecris, non, je ne peux pas. A part les bouquins de sciences fictions dans lesquels je me plongeais pour m'évader, je lisais les abégés des livres, les résumés. je suis ainsi passé à côté de très bons livres. Vous imaginez aisément que mes résultats en français furent plutot... pas très bon. bref. petit interlude temporel, la fac ne fut pas une période très productive, je me remets de mon tromatisme Lycéen.
Et de nos jours ? comme je le disais pus haut, j'ai largement le temps de me remettre à lire. j'en profites donc et me suis mis à relire des bouquins qu'on m'avait obligé lire et que finalement je n'avais jamais lu. C'est comme çà que je me suis rendu compte de ce que j'avais raté au college/lycée.
Dans mon cas, l'obigation de lecture ne fu pas benefique. Je déteste par dessus tout les obligations. çà doit venir d'une démarche personnelle ou sur conseil. Mais j'imagine que si on oblige pas un minimum, certains enfants ne liraient pas du tout. j'ai eu de la chance d'avoir accès facilement à une bibliothèque. Peut être la solution serait de proposer aux élèves de lire un certain nombre de livres dans un temps donné mais de leur laisser le choix dans les titres et les auteurs. C'est ce qu'il y avait au début du collège. J'avais pris alors un certain plaisir à présenter "au bonheur des ogres" de Daniel Pennac. Peut être qu'au début les eleves choisiraient des bouquins pas vraiment sérieux ou tout petit, du moins, pas des classiques. Mais que çà viendrait ensuite par curiosité. Je réve peut etre un peu. Mais je regrette vraiment qu'on m'ait obligé à lire quand j'étais plus jeune.

Bonjour, enchanté. Laissez moi me présenter...

Bonjour, vu que je vais vous raconter un peu ce qui se passe parfois dans ma tête et mes vaines réflexions sur le comportement parfois complètement incompréhensible de mes frères les hommes, il serait judicieux de ma part que je me présente.

je m'appelle.... un instant l'avantage d'un blog est de permettre justement une certaine forme d'anonymat et par conséquent d'éviter de donner son vrai nom de la vrai vie que je mène en parallèle de la rédaction d'un blog. Donc si je donne tout de suite mon prénom, qu'est ce qui m'empêchera après de vous donner d'autres informations cruciales sur ma vie privée ce qui vous permettrait de me retrouver ? Par exemple, si je vous révèle la couleur de ma brosse a dents, les deux premiers chiffres de mon numéro de sécurité sociales ou même le nombre de dent que l'on m'a arraché étant petit, vous finiriez sans doute par me retrouver. En même temps, il s'agit de ne pas tomber dans la paranoïa. Si je souhaite faire un blog, si je fais la démarche pour faire un blog c'est que quelques part je suis prêt à me révéler un peu. De toute façon, il est fort possible que 99% des personnes qui vont lire ce premier message sont des gens qui ont déjà vu mon ancien blog ou me connaissent.
Tout çà pour vous dire que actuellement, je m'appelle Nicolas (ooooh). Que j'ai 27 ans. Que dans la vie, je fais mon possible pour faire avancer la recherche. Mes centres d'intérêts ? J'aurais bien l'occasion de vous en parler.