un printemps à Londres

çà y est, nous sommes revenus de Londres.

Une bien belle ville, avec beaucoup de choses à voir et faire. on y mange pas si mal et pas trop chere à condition de connaitre quelques adresses, mais il faut faire attention aux pieges à touristes. (Prevenez moi si vous y aller, on s'est fait gentiment avoir dans un resto...). A tout prix, essayez la cantine "massale zone", un resto Indien situé pres de Carnaby street, exellent pour pas trop chere, accueil sympa et conseils à gogo.

la vie y est chere, très chere, surtout le logement. Dans notre cas, l'hotel etait bien situé, proche du metro. un peu trop proche en fait puisqu'une des lignes passait juste au dessous de notre chambre. vibrations et grondements garantis à chaque passage, soit toutes les 5 minutes environ. Heureusement, nous avions des "Earplug", des boules Quies, qui nous ont été d'un grand secour. :o)
Bref, beaucoup de bons souvenirs ou de mauvais qui le deviendront. au passae, j'ai vu une affiche du film de Guillaume Canet, Tells no one - ne le dis à personne.
j'en profite pour en parler car justement, j'ai pas de CD à presenter mais j'ai lu le bouquin d'où est tiré ce film.
C'est un polar assez sympa, l'histoire est plutot bien trouvé, les mechants sont tres mechants, les gentils sont gentils, çà se lit très bien et dans la categorie des histoires "en-fait-c'est-moi-le-tueur", c'est du bon. on passera sur quelques invraissemblance et quelques grosses ficelles au niveau de la narration et encore plus sur quelques clichés carle melange prend bien. je dirai pour conclure que c'est un peu comme le "Da Vinci Code", c'ets un bouquin qui se lit tres vite dans le train et qu'on oublie tout aussi vite.